가사
Est tombée noir, brûlant du sable dans la vigne,
La terre rouge sang, cette argile si digne.
La tempête solaire est dispersée d’un coup…
L’homme alors se terre…...... se couche le temps fou.
Se profilent au loin la nuit des horizons,
C’est l’aile en contrepoint que veille un papillon,
Butineur d’éternel, symbole d’inconstance,
Mémoire des passés se mourant dans sa danse.
Tu m’as dit dans le vivre les tus de tous ces « ça »,
Dans les gris oubliés des passés d’au-delà ;
Ce que tu tus en plus j’ai du le découvrir
Au fil de tes airs que tu chantais sans rire.
Me faire l’écho si nu de tes silences vains,
Balbutiements vécus de tout ce que tu crains.
Tes vers parlent pour toi plus sûrement que voix,
C’est peut-être la fin d’une certaine loi.
La barrière en émoi de ce que tu veux foi
Ne passe pas le pas, tu te prives de droit.
Le passé encre en toi, tant de peurs viscérales,
De la normalité tu crées tout le fatal.
Que le mot vrai s’étrangle en sanglots retenus…
Que le soutien s’érige en fleur d’absolu…
Vouloir d’un angle aigu faire norme qui sangle
Livre nu, impromptu, cet être qui s’étrangle.
S’enfuit à tire d’aile en liberté du vivre
L’autre voix si humaine, fruit du libre arbitre,
Libéré du conçu, enchaîné par l’absout
Né de cette main tendu qui se perd dans nos flous.
Les « adagios » se suivent et perdent comme un fil
Sur les airs qui se privent des alizés de l’Île.
Reste au moderato comme un air d‘allegro.
Pulse l’étonnement des « Ma-non-troppo ».
Sont les faces de Muse, elles vivent nos « La »…
S’éclaire en vie de grève au rythme de nos pas
Une si bonne note de toi s’imprégnant
De la marée intime des pas en avant.
A tire d’aile, chant de l’amour en danseuse,
L’émoi se fait vibrant dès que l’âme fiévreuse
Mise au grand secret né de la pensée du jour,
Se referme et dispense une chaleur d’amour.
Naît le souffle secret nourri de ses absences !
Se profile un « inspir » il y a comme une essence
Du souffle et de la vie que le soupir fait fondre,
Le normal s’éveille alors qu’il faut répondre !
Vois comme en « Maintenant », en alors de ta vie,
Se taisent les « je sais » se fondant à l’envie …
Des gestes en oublis, des mots si douloureux,
Vois comme ils se gorgent d’un lâcher prise heureux !
Me faire l’écho si nu de tes silences vains,
Balbutiements vécus de tout ce que tu crains.
Tes vers parlent pour toi plus sûrement que voix,
C’est peut-être la fin d’une certaine loi.