Namasté – Salam - Namasté Salam «je salue le soleil qui est en toi » , Le jour où la pluie des pensées tombe je te le dis les yeux dans les étoiles Sur les fumées issues des marches du temps je te le vis au cœur de nos volcans Le regard de l’esprit se pose sur l’autre et les bras se resserrent sur toutes les parenthèses Alors que soi-même l' on court sur notre erre chacun dans sa spirale ou bien son linéaire chacun acceptant l’autre et d’autres l’étouffant. ‘ Il y a l’envers du décor Dans la glace sans tain le miroir s’octroie une fenêtre sur la transparence et givre la minute. Si nos coups de troisième œil se perdent aux nuages plantés dans le firmament de nos vies Dans les cieux de l’infime de l’intime arrosant les non-dits de la mémoire de l’eau et de la nuit C’est le mime de la culture qui transpire en tombant les faiblesses et les forces recouvrant la sueur qui se fond en lingot de l’espoir d’être ‘ Il y a les souffles qui s’assoiffent L’instant voudrait suspendre les interrogations signifiant l’incompris des soleils qui se couchent Quand le moment suivant l’initie aux vouloirs aux savoirs exister qui dissolvent les contraires C’est la larme qui tombant recouvrant le satin de la peau des idées l’exprime et révèle le trouble d’une conscience éponyme. L’instant veut tant l’échange pour l’enfant qui grandit dans ces reflets d’adultes à la recherche d’eux-mêmes ‘ C’est l’image d’un temps qui bascule L’espace s’empare alors des dimensions contraires où s’entrechoquent les vagues du non-être Les éléments surgissent enveloppés de leurs grandes nudités habillées de transferts Qu’évoluer au présent des robes des passés pour libérer le risque d’être Les changements sont non avenus au pays de la transformation profonde du nu émergeant de soi-même ‘ Même les endroits s’en mêlent, la nature articule notre geste commune