Vingt-cinq hivers ne font que vingt-quatre printemps, Enfant Bien-aimé enfant, les ans ne sont que des ans Et le temps, dans l'espace dans lequel tu te meus, Tu le perds si ton mental rend ton esprit brumeux. Libère les dimensions qui te titillent ta confiance, L'enfance est encore là pour te dire qu'oubliance Des reflets de l'esprit ne mène qu'au pavé De la souffrance nue. Vivre est sens du né ! ' Alors que le froid pur ensemençait ta vie Les temporalités de l'homme accompli Nourrissaient déjà à ta corne d'abondance Le fruit mûri et sûr de l'être en descendance. ' Oui, enfant de la terre et de tout élément, Ta naissance au monde projette un diamant. Tu te dois de polir ces facettes de l'Être, Elles ne sont en somme que l'écho d'un « peut-être » ! ' Alors si cette année le destin souriait, S'il se faisait complice de tous tes souhaits, Tu pourrais fortifier l'entier bonheur construit, C'est la confiance en soi qui crée enfin le fruit. ' Quel qu'il soit, du matériel au spirituel, La graine mûre issue d'un « ressort » matriciel, Avec ton Amélie en seule « partageance », Tu sauras façonner cette année d'abondance. Oui, enfant de la terre et de tout élément, Ta naissance au monde projette un diamant. Tu te dois de polir ces facettes de l'Être, Elles ne sont en somme que l'écho d'un « peut-être » !