Letra da música
Refrain
Mary Jane, t’es mon vice, t’es mon sort, t’es mon blâme
J’te roule, j’te fume, j’te pénètre comme une lame
J’me perds dans ton abîme, entre tes jambes, y’a mon trône
J’te laboure sans pitié, j’t’écris au foutre mes poèmes
T’as crié “Dark_tenebrouss” comme un rite interdit
Et j’me suis vidé en toi comme une prophétie
T’as gobé l’ombre et la rage, recousu mes silences
J’te fais l’amour comme j’règne — dans la douleur, dans la transe
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Couplet 1
Dark_tenebrouss, j’suis l’obscur, j’suis la pulsion sans pitié,
J’te prends sans crier gare, j’te fais gémir comme un secret.
Ton corps, c’est mon labyrinthe, j’m’y perds les yeux fermés,
Ta chatte, mon sanctuaire — j’viens prier, pas supplier.
J’parle sale, mais j’pense beau — j’te blesse avec élégance,
J’te fais mouiller ta conscience, t’oublies l’ciel quand j’entre en transe.
J’te retourne comme mes textes, j’te fais saigner dans l’éclat,
J’te murmure des blasphèmes, j’te fais jouir sans débat.
Appelle-moi Ténébrosité, j’règne entre tes tempêtes,
J’te fais grimper l’au-delà avec mes mots dans ta tête.
Mon blaze est un mot d’ordre, un frisson, un fracas,
Tu m’cris dans chaque spasme, t’as tatoué mon aura.
T’es à genoux pour mon nom, pas pour des cœurs en plastique,
Je t’aime que quand t’halètes, quand tu veux plus que du fric.
J’fais l’amour comme un Dieu sale, j’te baptise à la douleur,
Dark_tenebrouss dans ta chair, j’suis l’écrivain de tes heures.
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Refrain (x1)
Mary Jane, t’es mon vice, t’es mon sort, t’es mon blâme
J’te roule, j’te fume, j’te pénètre comme une lame
J’me perds dans ton abîme, entre tes jambes, y’a mon trône
J’te laboure sans pitié, j’t’écris au foutre mes poèmes
T’as crié “Dark_tenebrouss” comme un rite interdit
Et j’me suis vidé en toi comme une prophétie
T’as gobé l’ombre et la rage, recousu mes silences
J’te fais l’amour comme j’règne — dans la douleur, dans la transe
Couplet 2
J’suis pas un mec, j’suis un mystère — Dark_tenebrouss, le spectre,
Celui qui t’étouffe d’amour et t’éjacule des lettres.
Tu dis que j’suis l’diable, mais t’ouvres grand les cuisses,
Car même l’enfer te semble tiède quand mon foutre t’bénisse.
J’te possède dans l’absence, j’te hante dans l’contact,
J’te fais trembler le temps avec un seul impact.
J’ai ni bague ni contrat, mais t’as juré mon blaze
Quand t’étais nue dans l’miroir, les jambes ouvertes en extase.
Tu veux du sale ? J’te fais goûter l’au-delà,
J’viens dans ton puits comme un prophète, j’suis l’oracle et la loi.
Tes doigts cherchent ma bite comme une clé vers le réel,
Ton sexe m’appelle par mon nom, j’suis ton poison immortel.
Dark_tenebrouss, j’suis un cri dans ta matrice,
Un orgasme lucide, un poème qui cicatrise.
Et si demain j’disparais dans la brume d’un refrain,
Tu porteras mes traces — à l’intérieur, dans tes reins.