Letra da música
---
Bertrand, le Patron
Bertrand, le Patron
(1ère couplet)
Dans le Bassin, on le connaît bien,
Bertrand, qu’on aime bien.
Au Bocal, c’est lui le patron,
Mais au Bouchon, quelle confusion !
Il connaît mieux les whiskies bien tassés,
Que les plats servis en salle bondée.
(Refrain)
Bébert, toujours prêt,
Que ce soit au boulot ou pour un apéro léger.
Lyonnais du Club Med bien formé,
Prêt ou alcoolisé, il sait gérer.
(Pont)
PPC, machine respiratoire,
Pression positive continue pour le repos du soir.
Elle l’aide à respirer, elle l’aide à récupérer,
Et le matin, Bébert est prêt à tout donner.
(2ème couplet)
Tous les dimanches, il court au matin,
Tous les dimanches, il court au matin,
Tous les dimanches, il court au matin,
Pour éliminer les gamma GT malins.
Sa mère, de l’autre côté du Bassin,
Le regarde courir, fier et serein.
20 ans de Club Med, ça forge un gaillard,
Entre les cocktails et les soirées bizarres.
(Nouveau couplet)
Il rit, il vit, il lève son verre,
Il rit, il vit, il lève son verre,
Il rit, il vit, il lève son verre,
Le dimanche soir, il est toujours sincère.
Pas de souci, Bébert est là,
Pour un conseil whisky ou un grand éclat.
Il rit, il vit, il lève son verre,
(Couplet supplémentaire)
Et chez lui, une tortue l’attend,
Rolex, Rolex, son trésor à tout moment.
L’été, dans son parc, Rolex l’attend impatiemment,
Pendant ce temps, Bertrand le Patron, emploie son charme au Bocal
daron Bébert, emploie son charme au bocal
daron Bébert, emploie son charme au bocal
Mais l’hiver, Rolex s’en fiche, elle dort paisiblement,
Rolex, Rolex, fidèle trésor au calme dormant.
(Fin)
Alors qu’il signe ou non un CDI,
Au Bocal ou au Bouchon, il est ici.
Bébert, notre éternel gars,
Toujours debout, quoi qu’il adviendra.
(2ème couplet)
Tous les dimanches, il court au matin,
Tous les dimanches, il court au matin,
Tous les dimanches, il court au matin,
Tous les dimanches, il court au matin,
Tous les dimanches, il court au matin,
Pour éliminer les gamma GT malins.
Sa mère, de l’autre côté du Bassin,
Le regarde courir, fier et serein.
20 ans de Club Med, ça forge un gaillard,
Entre les cocktails et les soirées bizarres.
(Nouveau couplet)
Il rit, il vit, il lève son verre,
Il rit, il vit, il lève son verre,
Il rit, il vit, il lève son verre,
Il rit, il vit, il lève son verre,
Le dimanche soir, il est toujours sincère.
Pas de souci, Bébert est là,
Pour un conseil whisky ou un grand éclat.
Il rit, il vit, il lève son verre,
Il rit, il vit, il lève son verre,
(Fin)
Alors qu’il signe ou non un CDI,
Au Bocal ou au Bouchon, il est ici.
Bébert, notre éternel gars,
Toujours debout, quoi qu’il adviendra.
-