les mots

J’ai des rêves qui s’effritent au bout de mes doigts,
Des blessures ouvertes que le temps ne soigne pas.
À chaque pas, un doute, un poids sur mes épaules,
Les murs de ma ville me rappellent que je suis seul.
Les ombres des tours m’écrasent, ça m’étouffe,
Dans le silence, j’entends les cris qu’on étouffe.
Je cherche une issue, un peu d’air, une faille,
Mais l’avenir est flou comme les rues sous la paille.
Quand le monde est contre moi, j’avance en solitaire,
Les rêves, ils volent en éclats, mais j’suis pas prêt d’me taire.
J’ai mes failles, mes échecs, mais j’les porte en collier,
Sous la surface, y’a des maux qu’personne peut deviner.
Dis-moi comment faire, pour trouver la paix,
Quand tout autour n’est qu’un champ de regrets.
J’me perds dans les ombres, j’oublie qui je suis,
Mais j’m’accroche aux rêves, aux lumières qui fuient.
Les maux qui me pèsent, j’les garde en dedans,
J’avance en silence, mais le cœur saignant.
Y’a les potes, les amours qui partent comme des mirages,
Et moi, j’reste planté, face à mes naufrages.
Les heures défilent, mais les douleurs restent,
Chaque sourire caché, un espoir qui s’fane.
Des promesses envolées, des regards qui se ferment,
Et moi, j’m'accroche aux miettes, aux faux « je t’aime ».
J’vois des familles brisées, des rêves fracassés,
La vie c’est une guerre, et j’suis pas prêt d’m’casser.
Quand le monde est contre moi, j’avance en solitaire,
Les rêves, ils volent en éclats, mais j’suis pas prêt d’me taire.
J’ai mes failles, mes échecs, mais j’les porte en collier,
Sous la surface, y’a des maux qu’personne peut deviner.
Dis-moi comment faire, pour trouver la paix,
Quand tout autour n’est qu’un champ de regrets.
J’me perds dans les ombres, j’oublie qui je suis,
Mais j’m’accroche aux rêves, aux lumières qui fuient.
Les maux qui me pèsent, j’les garde en dedans,
J’avance en silence, mais le cœur saignant.
Y’a des jours où j’me dis que tout pourrait changer,
Que l’espoir reviendra peut-être me chercher.
Mais dans le noir, j’vois plus les étoiles,
Et les mensonges s’ajoutent à mes failles.
Dis-moi comment faire, pour trouver la paix,
Quand tout autour n’est qu’un champ de regrets.
J’me perds dans les ombres, j’oublie qui je suis,
Mais j’m’accroche aux rêves, aux lumières qui fuient.
Les maux qui me pèsent, j’les garde en dedans,
J’avance en silence, mais le cœur saignant.