Tito le roi des rigados Et nanane partaient à vélos Creuser la vase à Pénerlé Pour ramener de quoi manger
C’était un dur métier Ils partaient sans renacler Gagner leur vie de miserables Peu des pêcheurs en eu été capable
Tout le monde dans le village Connaissait cet équipage Deux vieux vélos qui n’en n’avaient que le nom Mais sous tout les temps, il fallait tenir bon.
Une fois rendu sur les lieux de pêche Les kilometres avaient rendus les gorges sèches Fallait boire un bon réconfortant Avant de descendre sur l ‘estran.
Chacun son panier, chacun son rateau A la recherche des coques , c’était leur boulot Le temps passait, la pluie tombait Mais qu’importe le temps, c’était des sous quand on péchait.
Mais la mer en montant avait forcé l’arrêt De l’extraction de ce Il fallait rentré sur la presqu’île en vain Mais avant et surtout de lonquer un coup de vin.
Puis tout les kilomètres, la soif si pesante Avait eu raison de nouvelles descentes. Les vélos maintenant abandonnés de la monte Servaient bien plus a stabiliser nos deux pontes
Mais la journée n’était pas terminé Il fallait vendre la pêche aux dans les villages de quartier Ca se faisait à la moque, bon poids et bonne mesure Payé rubis sur l’ongle et un verre de vin c’est sur.
Parfois, il arrivait que le couple fatigué S’endorme d’un trop percu de nectare, dans les fossés Mais pas de soucis à se faire Après une petite sieste, ils reprenait l’affaire.
C’était des gens courageux qui ne demandaient à personne De gagner leur vie, c’était des Gentilhommes ; Que de belles personnes qui sont partis sans bruit Sans offenser personne, sans mal fait a autruis
Stijl van muziek
Latin Folk, Celtic Music, Joy, seductive, emotional, Male Voice, 60-80 BPM