Je meurs si tristement, l'âme en déséquilibre - 2 -
v4
@Yann Feat
2025-03-08 07:03
Je meurs si tristement, l'âme en déséquilibre - 2 -
v4
@Yann Feat
2025-03-08 07:03
Testi
2 Est « Maintenant » nourris de tes "enfins" construits L’aboutissement frais de tes confins instruits… Maintenant de tes vers, parles-moi de ce « Nous ». Il y a tant de force en cet esprit du « Nous ». Reçois comme une gerbe en écho de l’éveil « Soins-fleurs » de l’intime et miel de l’abeille, La sincérité vaut ce que vaut liberté Dans la pensée d’agir par les flux étouffés. Confier est bien donner limitant le secret Sans plus de retenu qu’exige le respect ; Aimer dans l’abandon est nourriture d’amour, Au-delà du confié… la voie est sans détour. Être en acceptation, être compréhension, Au-delà du normal, graines d’absolution… Voir l’autre est se voir dans le miroir du moi Au travers d’un réel compris dans le choix. Repose un peu les flux comme en un nid douillet Où de l’œuf de la vie naît le fruit d’un regret ; L’écoute fraîche et sûre est partage intérieur Des soucis de la vie aux chants de l’extérieur. La musique enchantée est parole lignée, La musique tue est la peur de se livrer. Convient mon amour que dans le lâcher-prise Nait un espoir humain vouloir qui cicatrise. Dire est se mettre à nu… se taire est dans l’attente D’un demain sans vertu, dire est vivre exigeante. La voix s’inscrit, s’imprime sur les endroits du cœur. Le revers de l’intime est masque infus des peurs. D’un demain sans vertu… Dire est sans refus Pour un vivre absolu nourri d’infinis tus La voix écrit, imprime à l’endroit fort du cœur Sur le revers intime issu de l’intérieur La marque indélébile en don de notre amour. Parole d’enfant mûr, parole et libre jour Renouvelant "l’enfin" d’une nature née Du poids lourds de nos ans comme une fleur d’été. Alors nous vivrions nos présents d’être libre… Je meurs si tristement l’âme en déséquilibre. Je m’en remets à Dieu créateur de l’amour Je m’en remets à lui qui veille sur nos jours