Letra
(Verse 1)
Dans la rue, je me souviens de nos combats,
Les cris des camarades, le vent de nos émois,
Ils voulaient nous faire plier, balayer nos espoirs,
Mais la CGT tient bon, ensemble on va s’asseoir.
(Refrain)
Mépris de classe, oh, on ne se tait pas,
Les licenciements de masse, nous ont ce battra,
Mais on lutte, on se bat pour nos droits, nos voix,
Les travailleurs unis, rien d’autre à perdre que des chaînes,
Nous avons un monde, un monde à gagner !
(Verse 2)
Je repense à mon père, aux heures qu’il a suer,
Pour chaque centime, pour ne pas dériver,
Dans la foulée des récits, des rêves en arrière-plan,
On se bat contre l’exploitation, patiemment, mais fermement.
(Refrain)
Mépris de classe, oh, on ne se tait pas,
Les licenciements de masse, nous ont ce battra
Mais on lutte, on se bat pour nos droits, nos voix,
Les travailleurs unis, rien d’autre à perdre que des chaînes,
Nous avons un monde, un monde à gagner !
(Bridge)
Les patrons s’en moquent, de notre douleur,
Mais ensemble, on s’érige, on devient des briseurs de peur.
Francs tireurs de l’espoir, nous retournons le destin,
Les cris de révolte, résonnent en frères, en sœurs, en chemin.
(Refrain)
Mépris de classe, oh, on ne se tait pas,
Les licenciements de masse, nous ont ce battra
Mais on lutte, on se bat pour nos droits, nos voix,
Les travailleurs unis, rien d’autre à perdre que des chaînes,
Nous avons un monde, un monde à gagner !
(Outro)
Leur mépris ne nous arrête pas, on avance sans hésiter,
Avec la CGT, dans la rue, nous allons nous libérer.
Des chaînes et des rêves, nous tissons notre avenir,
S’unir pour gagner, voilà notre désir.
Les travailleurs debout, jamais nous ne fléchirons,
Pour chaque frère, chaque sœur, cette lutte, nous la ferons.