La poétesse en homonyme masculine d'une féminité innée Porte le regard de plume nourrie de ce compréhensif état Il s’est alimenté d' interpellatifs cheveux balayant les doutes issus des luttes ancrées des non sus et des oblitérés reflets De tous ses interrogatifs culturels assénés aux noms des préjugés ancrés.
Ainsi naît son pouvoir de dépasser les discriminés, pour les rassembler , adjectivant leur entourage. Elle en révèle tous les pouvoirs de l’être. Quels que soient les mots elle les fait exister, transmettre leur valeurs acquises Au nom de la souffrance vaincue.
Sa lecture naît de ses degrés d’apprendre ; elle conçoit le dire et le taire. Le dire encore et le taire un peu plus Créant les degrés du savoir respecter. '
Pour le passager des syllabes , Accompagnant du verbe, Le quêteur du simple vers solitaire Devient complexe solidaire, Révélant le transcrit d'adolescence, Comme un reflets innés de ce que l'enfant délivre Lorsqu'il ouvre les yeux et les oreilles. Les sens donnent au regard qu’ils croisent Comme au magnétisme animal et humain, Ce chant de la nature si pur, si pur.